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Sando Kan (c’est un pseudo…) est né en septembre 1962 à Beyrouth et dés son plus jeune âge, il a été passionné par le dessin alors que d'autres jeunes de son âge préféraient les voitures miniatures. Pourquoi ce pseudo ? Car il correspond à l’anagramme de son nom et prénom et de plus, dans sa prime jeunesse, c’était sa série préférée pour son côté exotique et le côté anti-conventionnel de son héros.

La guerre qui déchira le Liban à partir de 1975 avec son lot de pleurs et de drames lui arracha des mains sa passion. Dans les années 80, après avoir été blessé, ses parents l'ont envoyé en France pour se faire soigner et poursuivre ses études. Il « débarqua » à Béziers mais était resté "amnésique" aux crayons et pinceaux. Après ? Eh bien comme monsieur tout le monde, le cursus habituel: étude puis diplôme puis jeunesse brûlée par les 2 bouts (peut être une façon d'oublier ses cauchemars...) puis la rencontre avec celle qui deviendra sa femme puis vinrent les enfants... Jusqu'à cet été 2004 où plusieurs événements conjugués ont eu un effet électrochoc et ont réveillé sa passion. Cela fait maintenant 8 ans que Sando a repris la peinture et le dessin. Ce qui fut d'abord une thérapie contre le stress et la pression devint vite une « addiction ». Dans la rue, dans les cafés, au bureau, chez lui... partout où il peut s'installer, c'est un réflexe, il dégaine ses crayons et il tire...ses traits. Mais Sando ne se présente pas comme un dessinateur mais plutôt comme un « dessineux » ayant appris son art sur le tas, passionné et amateur entre autre, de nus, de flamenco et de tango. Pourquoi ces 3 thèmes ? Parce la nature vivante est plus forte que la nature morte et peut être, aussi, pour exorciser la mort qu’il croisait à chaque coin de rue au Liban. Ses œuvres sont empreintes de couleurs, de simplicité et dévoile une personnalité forte et bienveillante envers la gente féminine qu’il sait si bien « croquer ». Ses influences ? Les premiers ont été Augusto Pedrazza, auteur de la série AKIM, et André Chéret, auteur de Rahan, pour le réalisme de leurs dessins. Dans les années 70, Jean Claude Forest et son héroine Barbarella. Puis vinrent, ce que il appelle, « ses auteurs sensuels ou undergrounds », Walthéry, Guido Crepax, Jack Cole, Ron Embleton, Georges Levis, Hugo Pratt, Pichard, Loisel, Manara, Aubrey Beardsley, Aslan et Vargas et leurs pin up, Luis Royo… Ils ont tous été ses « profs » , car non seulement, il dévorait leurs histoires, mais aussi, il essayait d’imiter, en cachette car son environnement familial et sociétal le lui interdisait, leurs coups de crayons sur ses cahiers de collège et ses carnets à dessin . Découvrez encore plus Sandokan sur : http://sandokan.canalblog.com/ http://les-oeuvres-de-sandokan.blogspot.com/

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